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La psychométrie: lecture de la charge des mémoires énergétiques d'un lieu, des murs, d'une personne.


Qu’est-ce que la Psychométrie ?

Wikipédia donne la définition suivante de la psychométrie : « la science qui étudie l’ensemble des techniques de mesures pratiquées en psychologie, ainsi que les techniques de validation et d’élaboration de ces mesures ». Elle comprend donc différentes activités :

– La mesure de caractéristiques psychologiques. Ex. : la psychométrie permet d’évaluer l’attention, la mémoire, la personnalité, l’anxiété, le risque de récidive criminelle …

– Le développement des outils qui permettent ces mesures. La psychométrie s’intéresse en effet à la création, la validation, la traduction et l’étalonnage des tests et échelles.



La psychométrie porte mal son nom. Concept introduit au 19ème siècle par le docteur Joseph R. Buchanan, au travers d’une étude où certains participants étaient capables de reconnaître du laiton au touché dans l’obscurité. L’un des participants décrivaient un goût particulier dans sa bouche au contact du métal. On pourrait éventuellement associé la synesthésie au phénomène décrit par J.R. Buchanan, mais pour autant la psychométrie est une perception énergétique fort intéressante.

On l'appelle aussi la mémoire des murs. Là encore un nom mal choisi, car elle ne s'arrête pas aux murs, les objets sont concernés (quel qu'ils soient) mais aussi la mémoire énergétique des personnes. La mémoire des murs étant la lecture d'une charge de l’événement ou des événements vécus par un objet par imprégnation psychique. Que ce soit volontaire (acte magique, donc manipulation des énergies) ou involontaire (événements violents comme meurtre, suicide, événements positifs, lieu sacré).Spécifiquement attaché à la capacité de lire les énergies d’un environnement, que ce soit un objet, un lieu, un mur, une pierre, elle peut s’exprimer de diverses façons, l’ensemble des capacités servant de support à l’expression de la perception. Le télé-touché est souvent associé à la psychométrie, l'objet pris entre les mains, ou vu étant ressenti comme brûlant, ou glacé, ou encore provoquant des douleurs pour celui qui le lit. La clairvoyance en permettant de "lire" et donc de voir son histoire (flash d'événements, de lieu, de symbole, en relation avec la charge énergétique).

La clairaudience: entendre un son en rapport direct avec l'énergie (un cri par exemple dans le cadre d'un meurtre).

L'odorat (odeur du sang toujours dans le cadre du meurtre, de l'encens quand c'est un objet consacré, tout dépend des analogies utilisées par le médium).

Le goût astral aussi (par exemple goût de cendre pour un objet/lieu qui a été subit un violent incendie).

La médiumnité à effet physique est moins usité dans ce type de cadre, mais reste possible et surtout difficile à vivre. Ainsi prenons une personne qui achète une maison où une série de meurtre a eu lieu: cris répétés à des heures précises, coup dans le mur, objets qui tombent, taches qui apparaissent ou disparaissent... C'est un cas extrême, mais où le premier réflexe va être de penser à une présence d'entité alors qu'il n'y a pas de ressenti de présence. Et attention, car parfois le ressenti de présence va être induit aussi par la charge dans les murs. Dans tous les cas problématiques, deux uniques possibilités de lutter contre une charge: purifier ou charger par une autre énergie. Purifier reste l'axe majeur. Tout restant niveau d'énergie...une purification très approfondie, répétée, longue peut parfois s'avérer nécessaire pour parvenir à suffisamment décharger un objet ou un lieu. Parfois même, quitter le lieu, enterrer l'objet s'avère nécessaire. Techniquement, plus la charge est importante, donc plus longtemps a duré le contact, ou encore plus violent a été l'événement lié, plus "lisible" est l'objet. Tout restant là encore niveau d'énergie et dépendant de votre sensibilité, et de la précision de lecture que vous êtes capable d'induire. Ainsi, on associe très régulièrement la psychométrie à la “mémoire des murs”. En lisant les énergies qui sont dans un objet, on peut être capable d’en ressentir son histoire, les lieux où il a vécu, les personnes qui ont été attachées à lui, le tout en comprenant et interprétant la charge énergétique qu’il contient.

Tout est énergie, même un événement, un lieu, une histoire, une personne, et cette énergie s’imprègne plus ou moins selon la matière, les circonstances (violente, répétition, longue…), le contexte (médium, meurtre, travail magique…), ainsi que l’environnement (un endroit qui par la situation énergétique empêche la circulation des énergies et donc la purification et la décharge naturelle, une situation géobiologique qui exacerbe une énergie négative…)L’un des meilleurs exemples de la pratique de la psychométrie est peut être celui de Maud Kristen dans les années 90 confrontée à divers objets dans une émission de télévision, où elle décrivait l’histoire du mur de Berlin confronté à l’un de ses morceaux, ou encore la vie du père du présentateur qui lui prêtait la montre de celui-ci. Sans aucune connaissance de l’histoire liée à ces objets, elle était capable d’en lire la charge émotionnelle (le lien entre la personne et l’objet, la tristesse liée au mur), décrire un environnement (la pluie, le froid toujours pour le mur).Voir cette vidéo:

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Ffy8RyciFBsCet exemple est une illustration pratique de la maitrise d’une capacité et de son “aboutissement”. Au quotidien la psychométrie peut être impromptue, difficile à vivre.

Au départ, vécue comme un bruit diffus dont on ne trouve pas la provenance, ou encore une image persistante, une pensée intrusive quand on saisit un objet, que l’on rentre dans un lieu, ou bien aussi une sensation de froid, de chaud, un toucher prononcé, ou un goût/odeur particulier sans que la relation de cause à effet se fasse.

Les personnes sensibles à la psychométrie ont tendance à facilement s’attacher aux lieux chargées en énergie, à fuir ceux dont l’histoire est trop sanglante, trop chargée en négatif. Elles peuvent apprécier les antiquités, mais les choisiront avec soin, pour les valeurs qu’elles ont pu porter auprès de leurs précédents propriétaires, ou pour l’énergie positive qu’elles ont. D'autres s’acharneront à n’avoir que du neuf, pour éviter les perturbations induites par la psychométrie, au point de régulièrement changer les meubles, les objets de la maison, au fur et à mesure qu’ils se chargent (la purification régulière peut limiter cet effet).La psychométrie est rarement unique, elle s’accompagne d’une sensibilité plus vaste, que ce soit aux minéraux, aux plantes, ou encore aux entités, aux personnes. En tant que méthode de lecture des charges énergétiques, elle ouvre aussi des perspectives dans la pratique spirituello-magique. Car elle permet de savoir quand un talisman est purifié, chargé, consacré, elle permet de percevoir une charge, et de remonter jusqu’à son émetteur-fondateur, elle permet d’appréhender de façon plus vaste un environnement. Elle est aussi une autre perspective du réel, car elle apporte une dimension vaste où le passé impact sur le présent, permet de voir les interrelations énergétiques entre chaque chose, la façon dont s’articule l’énergie d’un lieu, d’une pièce, l’attachement des personnes aux objets. Elle éclaire aussi sous un autre jour le non-attachement que les bouddhistes peuvent avoir au matériel, car s’attacher c’est laisser une empreinte, qui peut perturber l’autre, et donc impact sur les libertés d’autrui face à un objet. Si elle a des caractères positifs, face à la compréhension de ce qui nous entoure, elle peut aussi être puissamment perturbatrice et parfois violente. Elle implique donc comme toute capacité d'être comprise, puis de travailler à sa maitrise. Quelqu'un souffrant de la psychométrie a tout intérêt à devenir un as en purification..

Distinguer la voyance de la psychométrie: ce sont deux techniques différentes, qui peuvent aboutir au même résultat. L'un utilise la lecture du temps pour connaitre une histoire, l'autre la lecture des énergies. Voyance et médiumnité ne sont pas une seule et même capacité, ne pas l'oublier.


Même sans statue érigée à notre effigie, même sans notre nom dans les livres d’histoire, nous laissons des traces énergétiques de notre passage.

Les premières traces sont dans notre lignée génétique.

De la même manière que nous avons hérité des problématiques non réglées de nos ancêtres, nos descendants récupéreront sans doute les nôtres.

Tout est lié à la loi de résonance.


Les autres traces sont inscrites dans notre environnement quotidien.


Toujours le même principe, nos formes-pensée, nos émotions, une fois émises laissent leur empreinte sur les murs ou plus globalement, à l’endroit où elles sont émises.

Ainsi nul besoin d’être sur un lieu de crime ou de massacre pour avoir une désagréable sensation.

Imaginons que vous vouliez acheter une maison où une personne hébergeait dans sa salle de bain ainsi que dans sa propre chambre, des émotions de colère liées à un divorce difficile et que dans une autre chambre, celle de l’enfant, se déployait une émotion d’infinie tristesse. Si vous êtes concentré sur votre perception, vous le sentirez aussitôt… Mais si vous ne sentez rien, et que vous prenez possession de cette maison pour y habiter, des troubles nouveaux peuvent soudain se révéler, sans que vous sachiez pourquoi. Les énergies de la maison ont un impact direct sur votre perception de la réalité.

Ces énergies, se nourrissent de la mémoire des murs. Et comme toute entité qui veut absolument survivre, elle agira en sorte que vous l’entreteniez à votre tour.

Des mémoires sont ainsi omniprésentes dans tous les lieux qui ont du « vécu ».

Mais une maison neuve n’échappe pas à ce phénomène. En effet, en dehors de toute histoire tragique liée au terrain et avant même la remise des clés au futur propriétaire, la maison se charge en bonne ou mauvaise énergie. Comment ? Par les bâtisseurs eux-mêmes.

Les objets, les constructions, les œuvres en général se chargent de l’émotion, de l’intention du créateur. Imaginons un maçon qui viendrait de vivre une très grosse contrariété, une dispute avec son employeur, son épouse, un collègue. Je doute fort qu’il construise son mur en sifflotant des chansons d’amour. Ses gestes seront plutôt tout empreints de colère et dès le commencement de son labeur, chaque parpaing ou brique recevra une charge de violence plus ou moins contenue.

Souvenons-nous de notre dernière colère. Lorsqu’elle n’était pas encore apaisée, nous avons pu en vouloir à l’évènement ou la personne, voire la terre entière… Cela s’était certainement traduit par des pensées agressives accompagnées de gestes « énergiques », voire violents même si c’était dans le vide.

Le maçon qui pose son parpaing avec colère inflige à celui-ci une sorte de rituel magique involontaire. Imaginons maintenant que toute la maison soit construite ainsi, il faudra beaucoup d’amour et d’harmonie aux futurs propriétaires pour inverser la tendance.

A l’inverse, un lieu d’habitation construit avec patience et amour, par des personnes qui aiment ce qu’ils font ou tout simplement par le futur habitant recevra d’emblée une énergie d’accueil de paix et d’amour. Mais attention, les énergies bougent et nos humeurs changent, il faut donc rester vigilant car rien n’est jamais acquis.

Tous les travailleur sen énergétique ont souvent entendu parler de maisons « à divorce », de pertes d’emplois ou de problèmes financiers, de maladies récurrentes pour les habitants successifs. Les mêmes situations, les mêmes drames semblent s’y répéter sans cesse.

La mémoire des murs peut nous révéler le passé énergétique du lieu et agir directement sur nous en faisant surgir nos propres problématiques. Elle devient catalyseur. Plutôt que pour notre malheur, elle est là aussi pour montrer du doigt ce que souvent, nous refusons de voir.

Les lieux historiques sont des cas couramment rencontrés.


Quand à la mémoire énergétique des camps d’extermination. En dehors même de toutes les âmes errantes qui s’y trouvent certainement encore, il est facile d’imaginer que face à l’énergie dramatiquement puissante du lieu, même le plus insensible doit avoir la gorge serrée.

Bien heureusement, aucun promoteur n’aurait l’idée de construire des résidences à de tels endroits.

D’autres lieux moins présents dans la mémoire collective peuvent recevoir au fil du temps des constructions, par obligation suite aux destructions de guerre ou tout simplement parce que les faits remontent à trop longtemps. Cela ne change rien. L’énergie du lieu est toujours présente.

Il ne faut donc pas se fier à l’apparence neuve d’un bâtiment pour se croire à l’abri d’une influence énergétique. Tous les lieux ont une mémoire mais heureusement, ce n’est pas toujours aussi dramatique.

Nos ancêtres connaissaient le sujet et y accordaient un très grande importance.

Ils pratiquaient quotidiennement et depuis des temps immémoriaux, le nettoyage énergétique des lieux.

Vivant en pleine harmonie avec les lois de la nature, ils connaissaient la puissance des phénomènes énergétiques et les risques qu’ils encourraient d’en faire fi.

Pendant longtemps, cette connaissance savoir fut oubliée par le commun des mortels au profit d’un savoir de plus en plus cartésien et technologique. Actuellement, nous sommes de plus en plus nombreux à ouvrir les yeux, à accepter de ressentir pour être plus précis…

Ressentir, c’est avant tout accepter.

Si nous sommes à l’écoute, que nous ne nous posons pas en victime, même si ce qui se passe nous déplait… Et surtout que n’oublions pas la loi d’attraction. Alors, nous recevrons de surcroît des réponses à nos questions par le biais de synchronicités. L’univers ne nous oublie pas…!

En même temps qu’une prise de conscience, nous devons effectuer le rituel d’intention approprié pour aider  ce lieu à transmuter et à remonter son taux vibratoire.

Ainsi chaque lieu, chaque parcelle lavés de leurs tragédies familiales ou historiques permettent plus globalement à la Terre d’élever sa propre vibration et tous les êtres vivants d’en bénéficier instantanément.

Purifier sa maison avec du SEL de mer a un effet bénéfique et revitalisant.


Toutes les formes-pensées (les égrégores) que nous émettons régulièrement imprègnent les murs de nos habitations.

La mémoire des murs est un phénomène dont le principe est simple : tout ce qui se déroule dans un bâtiment crée des fréquences qui, comme une pierre que l’on jette dans une marre, imprègne au fil du temps les lieux de vie. Tous les événements accompagnés d’émotions fortes, positives ou négatives, s’y impriment avec plus ou moins d’intensité.


La mémoire des objets

Tout objet a sa vibration propre à laquelle il faut adjoindre son vécu, comme dans le cas de la mémoire des murs. Un meuble, par exemple, a la vibration de son bois et les diverses imprégnations depuis sa fabrication jusque chez vous où il se trouve. Les statuettes rituelles de toutes les religions sont imprégnée. Et il est des bijoux dont il serait préférable de se dessaisir.

Il arrive que la présence d’un objet maléfique, acquis ou offert, devienne le catalyseur de la « poisse ». Les objets sont capables de se charger de bonnes ou de mauvaises vibrations. Les porte-bonheurs existent tout autant que des objets porteurs de mauvaises intentions. Certains décors, posters, statuettes, bijoux sont parfois fortement chargés en négatif.

Quelques cas connus

Sean Robinson, possédant le tableau The Anguished Man, a tourné plusieurs vidéos montrant des phénomènes paranormaux produits par cette peinture. L’artiste s’était suicidé peu de temps après avoir terminé ce tableau. Il avait l’habitude de mélanger son propre sang à la peinture.


La plupart des propriétaires du diamant bleu Hop qui a appartenu à Louis XIV sous le nom de diamant bleu de la Couronne, avant de devenir le trésor de la Smithsonian Institution de Washington, ont connu une fin tragique.


Mettez-vous à la psychométrie

Le terme de psychométrie est utilisé en parapsychologie pour qualifier ce phénomène de ressentir la mémoire de la matière.

Ce terme a été créé par l’américain J.R. Buchana en 1949. Le philosophe polonais J. Tischner, définit la psychométrie par la capacité d’un sujet hypersensible de percevoir à partir d’un objet qu’il tient dans ses mains, des informations concernant son propriétaire, son histoire, ou celles des personnes ayant eu un contact suffisamment long avec celui-ci.

Selon une source sans référence scientifique, nos corps absorberaient l’énergie qui est autour d’eux.

Cela expliquerait la raison pour laquelle on peut se sentir mal à l’aise au milieu d’un groupe de personnes qui dégagent diverses énergies et émotions.

La matière a une mémoire

Les ondes psychiques modifiant la fréquence vibratoire de la matière peuvent amener une personne douée d’une très grande sensibilité ou au psychisme perturbé par un choc émotionnel ou affectif, ou en période pubertaire, à modifier sa propre fréquence vibratoire du fait que la matière environnante agit, elle, de façon constante.

Les enfants sont donc particulièrement concernés.

Il n’est nullement besoin d’être en face d’un phénomène de POLTERGEIST pour être grandement affecté. Si vous êtes amateur de brocantes et d’antiquité vous devez avant tout « visiter » les objets qui vous tentent, afin d’explorer intuitivement les souvenirs dont ils sont chargés.

La psychométrie s’apprend… Comme tout ce dont on prend conscience, la psychométrie est un don inné qu’il suffit d’accepter pour le voir apparaître dans notre quotidien.

Encore une fois, c’est l’acceptation qui va faire la différence.




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